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La consommation d'alcool chez les jeunes : le Binge Drinking

  • Photo du rédacteur: Manon Saelens
    Manon Saelens
  • 20 sept.
  • 2 min de lecture

Malchair A.


Dans cet article, je vous invite à explorer un phénomène très présent chez les adolescents et les jeunes adultes : le binge drinking, ou « biture express ». Derrière ce terme un peu technique se cache une réalité banale en soirée : boire rapidement une grande quantité d’alcool pour atteindre l’ivresse.


🍻 Pourquoi en parler ? Parce que cette pratique est souvent considérée comme « normale » à l’adolescence. Elle fait partie d’une recherche de limites, d’expériences partagées entre amis, d’une volonté de s’affirmer face aux autres et à soi-même. Mais si elle répond à des besoins bien réels – se sentir intégré, calmer une angoisse, oser davantage –, elle n’est pas sans conséquences.


🧠 Ce que la science nous ditLes études sont unanimes : le cerveau adolescent, encore en construction, est particulièrement vulnérable à l’alcool. Le binge drinking peut fragiliser la mémoire, la concentration et le contrôle des impulsions. Dans certains cas, il entraîne même des modifications durables au niveau cérébral. Sans oublier les risques immédiats : comportements à risque, pertes de mémoire, voire coma éthylique.


⚖️ À qui s’adresse cet éclairage ?Aux jeunes qui s’interrogent sur leur consommation : Pourquoi ai-je besoin de boire pour profiter d’une soirée ? Jusqu’où est-ce que je vais trop loin ? Aux parents, éducateurs et proches, souvent inquiets mais démunis face à ces pratiques. Et à toute personne qui souhaite comprendre sans juger.


🧭 Ce que vous trouverez ici :

  • Une lecture psychologique du binge drinking, comme partie intégrante de l’adolescence

  • Un rappel des effets méconnus de l’alcool sur un cerveau en maturation

  • Des pistes pour ouvrir le dialogue avec les jeunes, sans dramatiser mais sans banaliser


Mon intention à travers cet article : Montrer que derrière le binge drinking, il n’y a pas seulement une recherche d’excès, mais souvent un besoin d’appartenance, de reconnaissance, ou un moyen de calmer une angoisse. En parler, c’est déjà donner aux jeunes des clés pour mieux comprendre leurs choix et, peut-être, trouver d’autres façons d’expérimenter et de se construire.


 
 
 

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